Alors que la polémique rebondit sur la déduction fiscale des pertes de la Société générale sur les paris de Kerviel, leur calcul repose sur la thèse officielle d’un débouclage à Paris le lundi 21 janvier 2008. En révélant que le patron de la Société générale leur a vendu la mèche la veille, ouvrant la porte à toutes les spéculations avant l’ouverture de Paris, deux patrons de grandes banques de l’époque remettent en cause la version officielle du procès Kerviel.

Alors que la patron de la Société générale, Daniel Bouton, promettait à l'AMF et la Banque de France, dimanche 20 janvier 2008, de garder le secret des pertes de Jérôme Kerviel jusqu'à leur liquidation, deux patrons de banques françaises affirme qu'il leur a vendu la mèche ce même dimanche soir. Qui ment ? Qui dit vrai ? Deontofi.com décrypte les enjeux de ce scoop de notre confrère minoritaires.com. (photo © GPouzin)

Alors que la patron de la Société générale, Daniel Bouton, promettait à la Banque de France et au gendarme boursier, dimanche 20 janvier 2008, de garder le secret des pertes de Jérôme Kerviel jusqu’à leur liquidation, deux patrons de banques françaises affirment qu’il leur a vendu la mèche ce même dimanche soir. Qui ment ? Qui dit vrai ? Deontofi.com décrypte les enjeux de ce scoop de notre confrère minoritaires.com. (photo © GPouzin)

Alors que de nombreuses personnalités politiques (le porte-parole des Verts, Julien Bayou; la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann et quatre députés, dont Benoist Apparu) réclament une enquête sur l’avantage fiscal de 2,2 milliards d’euros obtenu par la Société générale avec les pertes attribuées à Jérôme Kerviel rebondit (lire Le Monde, Le Point …), le scénario échafaudé par la banque, pour calculer et justifier la déduction de cette perte, est balayé par les révélations de deux autres ex-patrons de banques, selon le scoop de minoritaires.com.

Selon la version officielle, en marge de l’audit en cours des spéculations de Jérôme Kerviel, un débat intense sur la conduite à tenir a lieu entre les dirigeants de la Société générale, réunis ce dimanche 20 janvier 2008 au 35ème étage de la tour de La Défense, en particulier sur l’enjeu de ce terrible secret.

« Il faut éviter tout risque de fuite, dit Daniel (Bouton). Sinon on est sûr de prendre 10 milliards de pertes », se souvient son ex-directeur de la communication, Hugues Le Bret, dans son livre « La semaine où Jérôme Kerviel a failli faire sauter le système financier mondial » (éd. Les Arènes-2010, réédition Points-2013 dont nous citons ici le passages, p.37). « Nous ne pouvons pas dépasser 10% du volume sur chaque indice dans la journée, dit Jean-Pierre (Mustier). Notre débouclage ne pèsera donc pas sur la tendance, c’est pour cela qu’il nous faudra plusieurs jours » (opus cité p.37). « Il sera impossible de tenir aussi longtemps sans qu’il n’y ait de fuite », affirme Philippe Citerne, numéro deux de la Société générale, apprenant que près d’une trentaine de collaborateurs de la banque sont déjà au courant. « Il n’y a pratiquement aucune chance que cela ne fuite pas lundi » (p.40). « En plus je dois prévenir le gouverneur de la Banque de France (NDLR Christian Noyer) et le secrétaire général de l’Autorité des marchés financiers (NDLR Gérard Rameix, aujourd’hui président de l’AMF), dit Daniel (Bouton)» (p.41). « Daniel, quand vous aurez le gouverneur, dites-lui de ne pas impliquer plus de trois collaborateurs », conseille Jean-Pierre (Mustier, directeur des activités de marchés de la SocGen), qui s’y connaît en cachoteries.

Et le président Nicolas Sarkozy ? Et sa ministre Christine Lagarde ? « Dites au gouverneur que ce n’est pas possible : on ne pourra pas déboucler si les politiques sont au courant », ajoute Hugues Le Bret (p.41). « Il faut prévenir nos commissaires aux comptes et le comité des comptes du conseil d’administration, rappelle Christian (Schricke, ex-secrétaire général de la SocGen) » (p.42). « L’Autorité des marchés doit donner son accord à l’idée de ne communiquer qu’après coup », explique encore l’ex-dircom de la SocGen, dans son récit haletant de « La semaine où Jérôme Kerviel a failli faire sauter le système financier mondial » (p.43).

Que faire de ce terrible secret ? « Je ne vois qu’une solution, c’est celle dans laquelle je déboucle et quand c’est fait, je communique », propose Daniel Bouton au gouverneur de la Banque de France quand il l’a au téléphone, qui accepte ce compromis, tout comme l’Autorité des marchés financiers, qui cautionne, à condition que ce terrible secret soit bien gardé, comme le raconte encore l’ex-dircom de la Socété générale (opus cité p.45).

Et voilà, l’affaire est dans le sac ! La suite du récit n’en déviera pas. Selon la version officielle de la Société générale, selon les souvenirs de son ex-patron Daniel Bouton, selon le récit de son ex-dircom Hugues Le Bret, selon le rapport officiel de Christine Lagarde sur cette affaire, selon les informations servie aux juges sans qu’ils puissent en vérifier la crédibilité : le terrible secret des positions de la Société générale prises par Jérôme Kerviel aurait été bien gardé jusqu’à leur débouclage qui n’a officiellement commencé que le lundi 21 janvier au matin, pour s’achever mercredi 23 janvier, occasionnant « une perte considérable de 5 milliards d’euros », selon le communiqué interne adressé par Daniel Bouton à tous les salariés jeudi 24 janvier 2008 à 8 heures du matin.

Trop sage pour être vraie. Cette version a toujours amusé les professionnels des marchés qui n’y ont jamais cru, soupçonnant la Société générale d’avoir réagi comme l’aurait fait n’importe quel équipage d’une salle de marché naufragée : en se ruant sur les issues de secours pour tenter de vendre à moindre perte avant d’être à la merci de ses amis et impitoyables concurrents. Si les autres opérateurs connaissent la gravité de la situation dans laquelle s’est mise une banque, et son urgence de vendre, ils ne lui font pas de cadeau, anticipant eux-mêmes une baisse des cours des tombereaux de titres à écouler. La Société générale a donc un intérêt légitime à ne pas attendre le lundi matin parisien pour préserver ses arrières, au regard du choc qu’elle va déclencher sur les marchés en liquidant les positions de son trader.

Que faire de ce terrible secret ? Daniel Bouton a toujours affirmé être resté bouche cousue sur les positions de la Société générale accumulée par Jérôme Kerviel, comme il l’avait promis aux autorités, jusqu’à leur débouclage. Pourtant, deux témoignages récents démentent totalement cette version « bisounours » de la gentille banque victime du méchant trader. Et pas n’importe quels témoins : deux patrons des plus grandes banques françaises de l’époque, interrogés par notre consœur Marie-Jeanne Pasquette, fondatrice du site minoritaires.com.

Alors qu’elle évoquait séparément cet épisode marquant de la crise financière avec chacun d’eux, séparément et dans des conditions professionnelles garantissant le sérieux et la traçabilité de leurs souvenirs, ces deux ex-patrons de banques françaises ont clairement affirmé que le patron de la Société générale, Daniel Bouton, leur avait téléphoné en personne, dès le dimanche soir, pour les prévenir « vers 21 h …depuis son portable » selon le souvenir d’un de ces témoins, révélé par minoritaires.com.

Qui ment ? Qui est amnésique ? L’ex-patron de la Société générale, qui avait un intérêt évident à cacher la vérité ? Ou ses deux ex-confrères aujourd’hui retirés, qui n’ont a priori aucun motif d’inventer cette fuite, au cours d’une évocation de leurs propres souvenirs ?

Tant que la justice n’essayera pas de vérifier sérieusement cette thèse de la fuite (et il y a peu de chances qu’elle le fasse vu sa réaction à l’autre scoop de 2015 concernant les embrouilles et pressions de la banque sur la commandante de police Nathalie Le Roy, chargée de l’enquête), le rôle de la Société générale dans les pertes de Jérôme Kerviel restera un mystère. Car cette révélation change totalement le scénario du débouclage ordonné qui aurait « limité » les pertes des positions de Kerviel à 4,8 milliards d’euros.

Que faire de ce terrible secret ? Ce dimanche 20 janvier 2008, quand les deux patrons de banques reçoivent l’appel de Daniel Bouton leur exposant la situation fâcheuse de la Société générale, il est donc 21h à Paris. Si les marchés sont traditionnellement fermés le week-end, les banquiers étant opposés au travail du dimanche qu’ils prônent pour les autres, l’argent ne dort jamais très longtemps depuis la mondialisation des cotations et télécommunications.

Bientôt, les marchés asiatiques ouvriront.

Quand il sera minuit à Paris dimanche soir, l’horloge sonnera 8h du matin lundi à Tokyo et 7h à Singapour ou Hong Kong. Si elle a débouclé les positions de Jérôme Kerviel seulement à partir du lundi matin 9h, dans des conditions de marché déplorables, n’a-t-elle pas été tentée de préparer le terrain la nuit en Asie, en prenant des paris qui lui auraient permis de gagner sur la baisse qu’elle allait accélérer en débouclant officiellement les mauvais coups du vilain trader ?

Le livre de l’ex-directeur de la communication de la Société générale est un récit palpitant qui se lit… comme un roman, même si sa version des faits est très discutable au regard des révélations récentes balayant la thèse officielle du procès Kerviel.

Quand les transactions démarrent sur le Tokyo Stock Exchange, le lundi matin à 9h, il est à 1h du matin à Paris. « On surveillait surtout Tokyo, parce que la plupart des opérations qui ont été dénouées l’ont été à Tokyo » raconte un des deux patrons de banque dans le témoignage recueilli par minoritaires.com. Et quand les opérations commencent une heure plus tard, aussi à 9h heure locale lundi 21 janvier 2008, sur le Simex, le marché à terme de Singapour (aui avait été le théâtre du drame spéculatif de Nick Leeson ayant coulé la banque Barings, depuis absorbé par le Singapore Exchange) il n’est encore que 2h du matin à Paris. Les initiés ont une belle journée de travail devant eux pour prendre les devant du ras-de-marée que va déclencher la liquidation des paris spéculatifs de la Société générale sept heures plus tard à Paris.

Et d’ailleurs, on peut se demander dans quelle mesure une telle « pré-liquidation » des positions de Jérôme Kerviel, ou leur couverture ce qui revient au même, n’est pas elle-même responsable de la chute des marchés et de l’ampleur des pertes officiellement enregistrées sur le débouclage final de ces positions.

Lundi 21 janvier. « On va pouvoir déboucler plus que prévu aujourd’hui, il y a beaucoup de volume. En revanche, c’est la pire journée depuis septembre 2001, le marché s’effondre de 8% », aurait déclaré Jean-Pierre Mustier, le patron des activités de marchés de la Société générale ce lundi noir (par ailleurs anniversaire de la mort de Louis XVI et de Lénine, c’est dire !) (Le Bret, opus cité, Ed. Points p.61).

Mais cette chute n’est-elle pas la conséquence de paris sur la baisse des actions européennes qui auraient été noués en Asie quelques heures plus tôt ? Le décalage des cours interpelle. Habituellement, le niveau d’ouverture du CAC 40 le matin est quasi-identique à son niveau de clôture de la veille, l’écart (le « gap », en anglais de salles de marché) étant le plus souvent inférieur à 0,1%. Avec les événements du week-end, il y a parfois un peu plus d’écart entre la clôture du vendredi soir et l’ouverture du lundi matin, l’écart pouvant approcher de 0,5%.

Mais ce matin-là, lundi 21 janvier 2008, l’indice CAC 40 ouvre à 5006,46 points, avec un écart de 1,7% par rapport au niveau de clôture du vendredi 18 (5092,40), ce qui entraîne très vite l’indice dans une spirale de baisse, le raisonnement moutonnier des traders étant que « si ça baissait autant à l’ouverture on ferait mieux de vendre car il y a sûrement une raison ». Au plus bas de la séance (4726,76 points), l’indice CAC 40 perdait précisément 7,2%. Le début d’une spirale baissière qui fera encore perdre près de la moitié de sa valeur à l’indice CAC 40 en à peine plus d’un an (à 2465,46 points au creux du 9 mars 2009).

Que s’est-il passé cette nuit-là en Asie ? Il serait intéressant d’étudier l’évolution des indices boursiers européens (euroStoxx50) et des différents produits financiers qui les suivent (corrélés), à Tokyo, Singapour et Hong-Kong, entre leurs cours de clôture du vendredi et l’ouverture de Paris le lundi.
Nous n’avons malheureusement pu retrouver ces données. Si un lecteur-trader de Deontofi.com y a accès, car nous savons que beaucoup ne cautionnent pas les dérives de leurs collègues ou supérieurs et nous en informent régulièrement, nous lui seront reconnaissant de partager cette information. En attendant, le mystère reste entier.

En dehors de la bonne trentaine de personnes officiellement au courant du naufrage spéculatif de Jérôme Kerviel, qui a eu connaissance du terrible secret de la Société générale, dès le dimanche 20 janvier 2008 ? À qui Daniel Bouton, ou d’autres initiés parmi ceux l’ayant su, n’auraient-ils pu s’empêcher de confier ce terrible secret ? Et qu’ont-ils pu en faire ? Combien de personnes bien renseignées ont-elles ainsi pu prendre des positions en Asie, dans la nuit du dimanche au lundi, pour se couvrir contre la chute boursière, ou même l’accélérer en spéculant sur la baisse ? La Société générale elle-même, n’aurait-elle pas été tentée de miser discrètement, pendant la nuit en Asie, sur la baisse qu’allait provoquer la liquidation des positions de Jérôme Kerviel le lendemain à Paris ? L’impact de toutes les opérations anticipées en Asie par les initiés n’a-t-il pas directement accru les pertes attribuées à Jérôme Kerviel ? L’avantage tiré par les personnes bien renseignées ne l’a-t-il pas été au détriment de la masse des investisseurs ignorants ? On ne le saura probablement jamais.

Comme pour bien d’autres secrets de l’Histoire, celui de la Société générale restera sans doute enfoui à jamais, sous une version officielle aussi bancale que peu crédible. La déontologie financière est pleine de mystère.

Mise à jour du 30/10/2015: Bradage ou braquage de la SocGen ?

Cette analyse documentée d’un trader professionnel, Sébastien Robert, publiée sur le blog de l’éconoclaste Liliane Held-Khawam, répond avec beaucoup de pertinence et de détails à des questions sur lesquelles la justice n’a pas établi une vérité crédible concernant les pratiques obscures de la Société générale autour du débouclage des paris de Jérôme Kerviel.

12 commentaires

  1. David, le

    Tres interessante discussion, je suis tombe sur cet article ‘Rogue Trading or Directional Hedging? Information Relevance Theory’ qui met en evidence les pratiques de marche concernant ce type de business (delta one).
    J’ai eu la chance de rencontrer l’auteur (@CKamtchueng) qui m’expliqua qu’il ne s’agissait la que de consequences, le probleme etant bien plus grand. Son Livre est tres explicite, nous sommes tous les pays europeens des DCID (Developed Country In Decline)

  2. G. Capelle-Blancard, le

    Bonjour et merci pour cet éclairage. Le débouclage des positions de la SG est un remarquable cas d’école et il est vivement souhaitable d’en savoir plus à ce sujet. Ne serait-ce que pour bénéficier du « retour d’expérience » car, malheureusement, la même situation pourrait très bien se répéter.

    L’impact du débouclage a été sous-estimé. Je ne crois pas qu’il y ait de doutes à ce sujet et ces quelques témoignages valident l’observation que l’on peut faire de l’évolution des marchés fin janvier. J’avais moi-même été intrigué par ces effets (http://www.telos-eu.com/fr/globalisation/finance-mondiale/les-zones-dombre-de-laffaire-kerviel.html). Pour en savoir plus, il faudrait pouvoir disposer de données plus fines (notamment intra-journalières) mais aussi et surtout de la procédure mise en place par les équipes de la SG. Il n’y a plus de raison aujourd’hui pour que cela reste secret.

      • G. Capelle-Blancard, le

        Bonjour, Je n’avais pas vu votre commentaire, je vous prie de m’en excuser. Mais je serais ravi de pouvoir discuter avec vous. Je suis chercheur à l’Université Paris 1, vous trouverez facilement mes coordonnées sur Google. N’hésitez pas à me contacter. En vous remerciant

  3. p, le

    Rappelons ici l’inanité de la mesure en volume sur les futures : les transaction sur futures n’ont aucune raison, au global, d’être directionnelles, il y a normalement autant d’achat que de vente dans le carnet des market maker.

    **SI** il devait y avoir un flux *directionnel* global, comme c’est le cas ici dans le débouclage, alors celui ci se traduit *nécessairement*, in fine, par des transactions sur le marché cash, celui des actions elle-même, de la part des market maker acheteurs de futures.

    La seule mesure pertinente est donc celle de la taille du vrai marche cash sous-jacent.
    Taille **de loin inférieure** a celle du future.

    Il serait donc **fondamentalement** erroné de voir retenu comme mesure celle du volume du marche a terme des futures, qui n’est absolument pas adaptée, pour évaluer l’impact.
    Un tel niveau d’amateurisme dépasserait l’entendement.

  4. GBL, le

    Vous faites une grosse erreur en écrivant qu’à partir du lundi 21 janvier 2008, l’indice CAC 40 va baisser des environ à 5000 points dans une spirale « en sept semaines » jusqu’à 2465,46 points au creux du 9 mars….. car ce creux est arrivé le 9 mars 2009, soit 60 semaines (1 an et 7 semaines) plus tard, et pas le 9 mars 2008 ! C’est facile à vérifier partout sur internet….

    En fait, ce n’est pas vraiment la chute du 21 janvier 2008 qui a déclenché la chute du cac40 à moyen terme, même si ça n’a pas du la freiner non plus.

    (Par ailleurs, je vous félicite pour votre site web, généralement fort pertinent)

    • Gilles Pouzin, le

      Bonjour et merci cher lecteur pour votre relecture attentive.
      Mea culpa, la myopie des calculs m’a fait écrire cet anachronisme d’inattention, alors que je connais pourtant de mémoire les époques des pics et creux du CAC 40. Erreur aussitôt corrigée avec les excuses du rédacteur.
      Bien sûr, la liquidation des paris de la Société générale n’a pas « déclenché » le krach qui couvait, mais figure parmi les naufrages notoires de cette période comme les faillites des banques Northern Rock (nationalisée en février 2008 après une panique aux guichets en septembre 2007), Bear Stern (reprise par JP Morgan en mars 2008), Salomon Brothers (15 septembre 2008); et de l’assureur AIG (septembre 2008), parmi d’autres…
      Merci pour vos encouragements et pensez à partager les articles qui vous intéressent avec vos contacts.
      Bonne lecture et à bientôt sur Deontofi.com

    • Antoine, le

      Le clan Kerviel dont monsieur Philippe Houbé en fait partie a deja été plusieurs fois pris la main dans le sac a traficoter la realité.

      http://m.challenges.fr/article/20150626.CHA7336/les-enregistrements-audio-de-kerviel-en-2008-n-ont-pas-ete-manipules.html

      Que disait la cour d appel a propos du « témoignage » de monsieur Philippe Houbé? Un dossier farfelu c est ca ?

      Après avoir perdu en justice, ils esperent manipuler les journalistes par esprit de revanche.

      Pourquoi les journaux n accordent plus aucun crédit à Monsieur Houbé.

      Juin 2012 vous allez voir ce que vous allez voir. Roulement de tambour, mise en scene. Et au final Kerviel condamné. Houbé s avere etre un farfelu en quete des spots mediatiques.

      • Houbé Philippe, le

        Réponse à l’anonyme qui a pris ici le pseudonyme « Antoine » pour publier ses habituelles attaques ad-hominem sans intérêt : Je sais que vous êtes passablement dérangé, mais vous devriez cependant essayer de vous comporter comme un adulte. 🙂

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