Le 9 août 2017 par Gilles Pouzin
Dans la torpeur de l’été, un après-midi de juillet, mon téléphone sonne. Le numéro qui s’affiche m’est inconnu mais commence par un indicatif étranger. +35 315 134 204. Dans le doute, je décroche. Si c’était un confrère journaliste, ou un client potentiel ? Non. J’entends un brouhaha de centre d’appel. Un jeune homme avec un... En lire plus »