La Bougie du Sapeur est une sorte d’ovni médiatique sympathique. Ce périodique satirique paraissant tous les 29 février, inspiré par la philosophie surréaliste et le monde loufoque dans lequel était né le Sapeur Camember (un 29 février bien sûr), bénéficie d’une grande sympathie du public et de nos confrères de tous les médias petits et grands (comme dans le reportage au JT de 20h de TF1 consacré à notre joyeuse équipe de La Bougie du Sapeur).
Par le hasard des rencontres, j’ai eu l’occasion cette année de collaborer (bénévolement) à la préparation du très spécial Numéro 10 de La Bougie du Sapeur, paru le 29 février 2016 et vendu en kiosque théoriquement pendant un mois, mais encore disponible chez les meilleurs diffuseurs (voir plus bas).
Dans ce numéro, vous lirez donc quelques articles satiriques ou totalement loufoques, signés Gilles Pouzin, qui furent d’une grande distraction pour son auteur, et nous l’espérons pour leurs lecteurs.
En prime, La Bougie du Sapeur nous a fait l’honneur d’un clin d’œil à Deontofi.com, en publiant un article assez cocasse sur la chasse aux arnaques, sous le titre prometteur de « Vous éparniais ? Eh bien dansez maintenant ! » (à lire absolument p.6).
Depuis 40 ans, La Bougie du Sapeur est devenue un événement à ne pas manquer, que les lecteurs attendent de retrouver avec impatience chaque 29 février. Un délai raisonnable qui vous laissera le temps de profiter pleinement du dernier numéro, à déguster tranquillement pendant quatre ans.
Après un record de 132 000 exemplaires vendus de son numéro 9, en 2012, le numéro 10 collector de La Bougie du Sapeur devrait rassembler au moins autant d’amateurs d’humour décalé. En plus, c’est une entreprises philanthropique, son éditeur déclarant reverser les profits à une association d’aide aux personnes autistes et épileptiques.
Le journal, fervent défenseur de la sauvegarde du papier, un média plus écologique et à usage ménager bien plus utile que la « tablette », explique dans chaque numéro pourquoi il n’a pasdesiteinternet.com. Depuis peu, vous pouvez cependant consulter sa page Facebook, ainsi que de nombreuses références publiées par les confrères.
Il est peut-être un peu tard pour le signaler aux lecteurs de Deontofi.com mais il n’a pas encore disparu de tous les kiosques. Selon nos informations, La Bougie du Sapeur serait toujours disponible dans les aéroports, et chez les distributeurs Relay les mieux fréquentés, en particulier dans les gares.
Une lectrice nous signale l’avoir vu en bonne place, fin mars, chez un kiosquier de l’avenue de la Grande Armée et plusieurs autres du 17ème arrondissement de Paris.
Si les enfants ne vous ont pas laissé participer à la chasse aux œufs de Pâques, c’est l’occasion unique d’organiser une pèche à La Bougie, en solitaire ou en équipe. Faites-vous plaisir ! Mais hâtez vous car il n’en reste déjà dans plus beaucoup de kiosques et ce sera bientôt fini pour de bon. Enfin, presque.
Car La Bougie ne s’éteint jamais ! S’il n’est plus disponible en kiosque et que vous l’avez manqué, vous pourrez encore vous procurer un exemplaire de ce numéro collector, ou même d’un plus ancien, directement auprès dudit Sapeur.
La Bougie est en vente par correspondance au prix de 6€ par chèque à l’ordre de Point Final – 29 rue Claude Terrasse 75016 Paris (en précisant bien pour quel millésime).