Regarder de l’avant sans se retourner. (photo © GPouzin)

Pour commencer, je tiens à dire que je hais ce livre au plus haut point. Je n’ai presque rien compris. Ce livre est très dur à lire car il est écrit dans un langage très soutenu. Je relisais à chaque fois les mêmes phrases. Mise à part, je trouve le sujet de ce livre très intéressant, bien que le dédoublement de personnalité se rapproche un peu trop de la schizophrénie.

Ce livre parle des parts indissociables de bien et de mal en chacun de nous. Et de l’impossibilité pour l’homme d’être parfait ou entièrement mauvais. Bien sûr cette idée est exagérée par le Dr Jekyll et Mr Hyde, qui grâce à une sorte de potion, ne forme plus un, mais deux.

Je trouve que la notion de « dualité profonde et primitive » est très bien exprimée. En fin de compte, je trouve la façon dont ce livre est écrit, illisible. Mais les questions essentielles, qu’il fait se poser à moi, lectrice, très intéressantes.

Alice Pouzin, 13 ans

Ouvrage de référence: L’étrange cas du Dr Jekyll and Mister Hyde, par Robert Louis Stevenson, 1886, Livre de poche Libretti, 95 pages, Librairie Générale Française, 1999.

4ème de couverture: Petit, difforme et velu, un monstre erre dans l’atmosphère trouble des rues de Londres. Le vent souffle, l’éclat rouge des réverbères perce à peine le brouillard…
Paisiblement installé dans son bureau, devant un feu qui crépite, un respectable savant voit avec épouvante sa belle main se dessécher, se couvrir de poils…
Une histoire à faire dresser les cheveux sur la tête du lecteur, même le plus enclin à se dédoubler.

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