Quand on m’interrogeais depuis quelques temps sur la campagne de l’élection présidentielle américaine, j’avais pris l’habitude de répondre que j’étais un des rares Français à ne pas y prendre part, n’étant pas électeur américain. C’était un raccourci, par contrepoint avec la fièvre médiatique et l’engouement de l’opinion publique pour la course à la Maison Blanche…