Le 25 juin 2012 par Gilles Pouzin
Malgré les anomalies repérées et signalées en 2007 aux supérieurs de Jérôme Kerviel, la Société Générale se retranche derrière ses carences de contrôle. Retour à l’audience du 21 juin 2012. Après avoir écouté poliment Daniel Bouton exposer sa version de la révélation des pertes frauduleuses, la présidente de la cour d’appel, Mireille Filippini, le ramène... En lire plus »